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MAT.V
0.050.00
26-03-2009 19:41
Source TSX.V
Abattage : Technique utilis�e pour soutirer le minerai d'une exploitation souterraine ou � ciel ouvert.

Activit� mini�re : Action effectu�e pour accro�tre ou exploiter les ressources min�rales. Elle comprend notamment l'exploration (au sens strict), la mise en valeur des gisements, l'am�nagement du complexe minier et l'exploitation, soit l'extraction et le traitement du minerai ou des r�sidus miniers.

Affleurement : Partie d�un terrain visible � la surface de la Terre. Sur les cartes g�ologiques, les affleurements sont g�n�ralement limit�s par des traits fins qui sont les contours g�ologiques.

Anomalie : En g�ophysique, variation locale rapide d�une grandeur qui, r�gionalement et en moyenne, change peu ou lentement. Une anomalie est caract�ris�e par sa diff�rence avec un mod�le th�orique rendant compte au mieux de la grandeur (ex. : anomalie magn�tique, anomalie gravim�trique). Les anomalies magn�tiques des fonds oc�aniques permettent de reconstituer leur histoire.

Anticlinal : Pli o� les �l�ments situ�s � l�int�rieur de la courbure �taient, avant la d�formation, les plus bas. V. aussi antiforme.

Antiforme : Terme utilis� pour d�signer un pli convexe vers le haut, ind�pendamment de ses conditions de gen�se.

B�ryl : Cyclosilicate, � en prismes allong�s et cannel�s ou arrondis, � cassure concho�dale ou in�gale, � polychro�sme parfois marqu�. Colorations vari�es li�es aux traces de Fe et Cr (bleu et vert), de Li (rose), d�U (jaune). Commun dans les pegmatites, pr�sent dans certains micaschistes, et connu dans les calcaires bitumineux m�tamorphis�s. En cristaux parfois de grande taille, et pouvant donner des gemmes : l��meraude (verte et limpide), l�aigue-marine (bleu-vert et transparente), la morganite ou b�ryl rose, l�h�liodore (jaune).

Cannelure : Large sillon creus� par un glacier et par les roches qu�il entra�ne, sur son substratum. V. model� glaciaire.

Carotte de forage : �chantillon cylindrique retir� du sol � des fins de recherche et d'exploration.

Claim : Un droit minier qui donne � son titulaire le droit exclusif de rechercher, sur un territoire d�limit�, toutes les substances min�rales qui font partie du domaine public, � l�exception : du p�trole, du gaz et de la saumure; du sable (sauf le sable de silice), du gravier, de l�argile commmune...; de toute autres substance min�rale de surface pour la partie du terrain faisant �galement l�objet d�un permis de recherche de substances min�rales de surface ou d�un bail exclusif d�exploitation de substance min�rales de surface. Le claim devient le seul titre d�exploration octroy� pour la recherche des substances min�rales du domaine public. Il s�obtient soit par d�signation sur carte, d�sormais le principal mode d�acquisition du claim, ou soit par jalonnement sur certains territoires d�termin�s � cette fin.

D�capage : m�thode tr�s r�pandue en prospection mini�re. Tr�s souvent, les travaux se r�sument � creuser une tranch�e dans le mort-terrain, jusqu�au roc, � l�aide d�une r�trochargeuse.

D�formation : Changement de forme d�un corps mat�riel. La d�formation permanente observ�e (d�formation finie) acquise par une roche d�pend de ses propri�t�s et des contraintes subies. La d�formation est dite discontinue s�il y a eu cr�ation de plans de rupture et d�placement (glissement) suivant ceux-ci; elle est continue dans le cas inverse. La d�formation continue est homog�ne si des droites restent des droites et des parall�les restent des parall�les : un cube est transform� en parall�l�pip�de et une sph�re en ellipso�de. Dans les autres cas la d�formation est non-homog�ne ou inhomog�ne.

D�p�t : 1. Ph�nom�ne consistant en l�accumulation de substances sur un substratum. V. s�dimentation. 2. Mati�re r�sultant de cette accumulation. V. s�diment.

Diamant : Carbone pur cristallis� dans le syst. cubique, en cristaux souvent macl�s, parfois � faces courbes pouvant �tre finement stri�es, � clivage facile, � �clat sp�cial dit adamantin, incolore et limpide ou diversement color� : jaune, vert, rouge et parfois noir. Son indice de r�fraction tr�s �lev� (n = 2 217) explique son aptitude � disperser la lumi�re blanche en donnant des rayons color�s (feux). C�est le min�ral le plus dur connu (indice 10 dans l��chelle des duret�s), de densit� 3,5. �l�ment natif en inclusions dans des chemin�s volcaniques remplies de kimberlites et de roches �clogitiques mises en place � HT et HP (Indes, Br�sil, Afrique du Sud, ..).

Dyke : Lame �paisse de quelques dizaines ou centaines de m�tres de roche magmatique recoupant les structures de l�encaissant. Du fait de l��rosion, elle peut donner un relief en forme de mur. V. Filon.

�chantillon : portion de min�ral, de roche, de fluide, �, pr�lev�e pour �tre �tudi�e.

�chantillonnage : pr�l�vement d�une �chantillon. Un �chantillonnage est dit al�atoire lorsqu�il n�ob�it qu�aux lois du hasard, sans privil�gier une portion particuli�re de la formation �tudi�e. Cette condition est n�cessaire pour l��tude statistique de cette derni�re; il est pourtant rarement possible de la respecter en g�ologie, notamment du fait que les roches ne sont accessibles g�n�ralement qu�en affleurement, donc sur une petite partie de leur volume, et que la position de ces affleurements ne r�sulte pas du hasard.

�paisseur (d�une couche) : V. puissance.

�paisseur apparente : �paisseur que semble avoir une couche sur une coupe qui ne lui est pas perpendiculaire. V. pendage.

�tude m�tallog�nique : La m�tallog�nie est � la fois une science fondamentale et une science appliqu�e. Elle vise � d�crire les g�tes min�raux, � comprendre leur m�canisme de formation et � fournir � l'explorateur minier des guides de prospection.

Exploitation : Activit� mini�re ayant pour but l'extraction, la concentation, la fonte ou l'affinage de substances min�rales � partir d'un gisement minier.

Exploration : Au sens large, tout l'�ventail d'activit� mini�re qui va de la recherche des gisements et leur mise en valeur, jusqu'� l'am�nagement du complexe minier. Au sens strict, l'activit� de recherche des gisements, jusqu'� la d�couverte et la premi�re d�limitation par forages et �chantillonnages d'un gisement.

Extraction : Portion de l'exploitation consistant � retirer le minerai, le st�rile ou les r�sidus miniers d'un chantier souterrain ou de la mine � ciel ouvert.

Faille : cassure de terrain avec d�placement relatif des parties s�par�es. En pratique, ce terme d�signe le plus souvent des accidents verticaux, ou � pendage fort et n�impliquant pas de recouvrement important (cf. chevauchement, charriage). La longueur des failles peut varier de quelques m�tres � plusieurs dizaines ou centaines de kilom�tres (famille de failles se relayant plus ou moins : cf. lin�ament, rhegmatisme). La valeur du d�placement (le rejet) est variable selon les points pour une m�me faille, et peut se situer entre le d�cim�tre et plusieurs kilom�tres verticalement, plusieurs dizaines ou centaines de kilom�tres horizontalement. Les d�placements importants se sont effectu�s en plusieurs �tapes li�es � l�histoire tectonique de la zone consid�r�e; il est souvent difficile d��valuer l�ampleur des mouvements, et plus encore d�en pr�ciser les modalit�s et les �tapes.

Forage : Puits de petit diam�tre creus� m�caniquement et destin� � l�exploitation d�une nappe d�eau souterraine, d�un gisement de p�trole� Lorsque le puits est destin� � la reconnaissance du sous-sol, p. ex. pour d�terminer la constitution d�un gisement minier, on parle plut�t de sondage, bien que les deux mots soient souvent employ�s indistinctement.

G�ologie : Science qui se consacre � l'�tude de la structure et de l'�volution de l'�corce terrestre.

G�ophysique : �tude des diverses propri�t�s physiques de la Terre, de la composition et des mouvements des diverses couches rocheuses qui la composent. La g�ophysique est appliqu�e � l'exploration mini�re pour d�tecter des zones qui se distinguent par leurs propri�t�s physiques: magn�tisme, gravit�, conductivit� (�lectromagn�tisme), etc.

Gisement minier : Amas min�ralis� dont toutes les caract�ristiques ont �t� d�termin�es et qu'il est rentable d'exploiter. On parle de gisement lorsque les limites des substances min�ralis�es contenues dans celui-ci ont �t� �tablies par des forages et les teneurs mesur�es par analyse. Les travaux de mise en valeur viendront concr�tiser ce potentiel pour confirmer l'am�nagement d'un complexe minier.

G�te min�ral : Amas min�ralis� qui semble rentable � exploiter au premier abord, et dont il faut v�rifier les caract�ristiques de fa�on plus approfondie. Le terme met davantage l'accent sur l'aspect g�ologique et moins sur l'aspect minier.

Indice : (du lat. indicium, signe r�v�lateur, de index, - icis, qui montre) - 1. Pour une substance donn�e, traces observ�es en un point permettant d�envisager que cette substance existe non loin en plus grande abondance (ex. indice de p�trole, indice aurif�re). 2. pour un min�ral, syn. de indice de r�fraction.

Lame mince : �chantillon de roche aminci jusqu�� le rendre transparent afin d�en permettre l�observation en lumi�re transmise au microscope optique (g�n�ralement au microscope polarisant). Une lame mince s�obtient g�n�ralement de la mani�re suivante : 1) sciage (avec une scie diamant�e) d�une lame de roche � faces parall�les de quelques 3 cm sur 4 cm et d�une �paisseur de quelques millim�tres; 2) polissage d�une des surfaces d�abord sur un tour constitu� par un disque m�tallique horizontal tournant � faible vitesse avec des abrasifs de grains d�croissants humect�s d�eau. La finition se fait � la main sur une �paisse plaque de verre avec un mat�riel apr�s chaque changement d�abrasif pour �viter les rayures; 3) collage de cette surface sur une lame de verre avec du baume de Canada ou une r�sine synth�tique; 4) amincissement de l�esquille de roche gr�ce � une meule diamant�e rectifieuse; 5) polissage du c�t� ainsi rectifi� comme en 2), l��paisseur de la lame doit �tre de 0,03 mm, le contr�le pouvant s�effectuer par l�observation des teintes de bir�fringence du quartz; 6) collage sur ce c�t�, au baume ou � la r�sine, d�une lamelle de verre tr�s mince (0,1 mm).

Lanthane : Symbole chimique La. M�tal du groupe des lanthanides et terres rares.

Lanthanides : Groupe de 15 �l�ments m�talliques, dont le type est le lanthane, de propri�t�s chimiques tr�s voisines assez r�pandus avec de faibles concentrations dans les r. magm. � Ils ont de nombreuses utilisations industrielles (verres, c�ramiques, �clairage, �lectronique, t�l�vision,...).

Lever (lev�) : Dresser une carte (g�ologique, g�ographique�) sur le terrain. Le n�ologisme carter a �t� rejet� par l�Acad�mie des sciences. (lever ou lev� = action de dresser une carte; cette carte elle-m�me).

Lithologie : Nature des roches d�une formation g�ologique. - D�suet dans le sens de science des roches (Syn. P�trographie, p�trologie).

M�tallog�nie : Science des gisements m�tallif�res bas�e sur l�analyse des parag�n�res min�rales, sur leurs successions et leurs �volutions chronologiques, en liaison avec l�histoire g�ologique des secteurs o� sont situ�s ces gisements. Il s�y ajoute, pour le praticien, l�estimation de leur int�r�t �conomique.

M�tallographique : Qui se rapporte � l��tude des m�taux. Microscope m�tallographique : microscope permettant d�observer des surfaces polies de m�taux en lumi�re r�fl�chie. On l�utilise aussi en g�ologie pour observer des surfaces polies de roches surtout lorsqu�elles contiennent des minerais qui, opaques, en sont pas observables par transparence en lame mince.

Mine : Zone o� l�on exploite des substances utiles (autres que des mat�riaux rocheux), soit � ciel ouvert, soit par puits et galeries.

Minerais : Ensemble rocheux contenant des substances utiles en pourcentage suffisant pour justifier une exploitation. En pratique, le terme d�signe essentiellement les substances m�talliques, et en sont exclus, en particulier, les mat�riaux de construction et les mat�riaux combustibles.

Or : M�tal pr�cieux jaune brillant, tr�s ductile et mall�able, inattaquable � l'air et � l'eau.

Pal�o : Pr�fixe tir� du grec palaios, ancien.

PEM (permis d�exploration mini�re) : Le titulaire d�un permis d�exploration mini�re a le droit exclusif de rechercher certaines substances min�rales - les m�mes que dans le cas du claim - sur un territoire donn�, n�cessairement situ� au nord du cinquante-deuxi�me degr� de latitude. Valide pour une dur�e de 5 ans.

Pendage : Angle entre une surface (couche, plan de schistosit�, contact anormal, �) et un plan horizontal; sa mesure est celle du plongement de la ligne de plus grande pente de cette surface. Le sens (ou direction) du pendage et la direction de cette ligne de plus grande pente, orient�e vers le bas. Elle est perpendiculaire � la direction de la surface (qui est l�intersection de celle-ci de par un plan horizontal). Sur le terrain, le pendage est mesur� � l�aide d�un clinom�tre, son sens avec une boussole. Sur les cartes g�ologiques, le pendage des couches est indiqu�g�n�ralement par une sorte de fl�che en forme de T dont la pinte es dirig�e dans le sens du pendage, la valeur du pendage en degr�s �tant le plus souvent indiqu�e par un chiffre...

Placer : Zone d�alluvions o� se sont accumul�s des min�raux exploitables (p�pites d�or, pierre pr�cieuses).

Polorisation : Pour une onde �lectromagn�tique, et particuli�rement pour la lumi�re, (son vecteur champ �lectrique �tant pris ordinairement comme r�f�rence) fait de vibrer soit dans une seule direction dans un plan perpendiculaire au d�placement de cette onde (polarisation rectiligne), soit dans ce plan selon deux composantes perpendiculaires ayant une diff�rence de phase constante.

Projet minier : toute activit� d�exploration, de mise en valeur ou de production � l��gard de substances organiques fossilis�e, notamment les m�taux communs et pr�cieux, le charbon et les min�raux industriels;

Prospecter : Examiner un territoire pour y recherche des substances min�rales sans �tre titulaire d�un droit minier r�el et immobilier sur le territoire o� s�effectue cette recherche, sauf lorsqu�il s�agit d�un permis de recherche de p�trole, de gaz naturel...

Prospection g�ophysique : Recherche par des m�thodes g�ophysiques (g�ophysique appliqu�e) de substances ou de structures du sous-sol utilisables par l�homme. Ces m�thodes sont essentiellement les suivantes : gravim�trie, magn�tisme, propagation des courants �lectriques (r�sistivit�), sismique, radioactivit�. Les mesures peuvent �tre faites en surface ou dans des sondages (giagraphies). La prospection sismique (ou la sismique)utilise les ondes issues d�explosions soit r�fract�es (sismique r�fraction), soit r�fl�chies (sismique r�flexion) dans le sous-sol. Le graphique que l�on obtient en portant en abscisse les distances en surface au point d�explosion et en ordonn�e les temps de parcours correspondants est appel� hodochrone ou dromochronique.

Puissance : �paisseur d�une couche ou d�une s�rie de couches mesur�e perpendiculairement � la stratification. C�est donc l��paisseur r�elle par opposition � l��paisseur apparente qui peut �tre relev�e p. ex. dans un sondage oblique � la stratification.

R�serves min�rales : la partie des ressources min�rales mesur�e ou indiqu�es qui peut licitement �tre extraite de mani�re rentable dans des conditions �conomiques sp�cifi�es et g�n�ralement reconnues comme raisonnables dans l�industrie mini�re et dont l�existence est �tablie par une �tude pr�liminaire de faisabilit� ou une �tude de faisabilit�. Les r�serves min�rales sont class�es, en fonction du degr� de confiance � l��gard de l�estimation de la quantit� et de la teneur ou qualit� du gisement (ressources min�rales probables ou prouv�es).

R�serves possibles : Blocs de minerai dont la continuit� n'est pas assur�e par des forages et des �chantillonnages sur une maille r�guli�re. Les r�serves possibles sont d'excellentes cibles pour augmenter les r�serves probables et pour �tendre le gisement sur une plus grande superficie, en g�n�ral en profondeur.

R�serves probables : Blocs de minerai dont la continuit� est assur�e et d�montr�e par des forages et des �chantillonnages sur une maille relativement large mais r�guli�re. La densit� de la maille doit permettre d'�tablir la masse ainsi que le volume, les limites, la densit� et les teneurs des min�raux et m�taux d'int�r�t avec une pr�cision suffisante pour une planification mini�re pr�liminaire. Une nouvelle exploitation mini�re ne peut �tre entreprise seulement avec des r�serves probables

R�serves prouv�es : Blocs de minerai dont la masse ainsi que le volume, les limites, la densit� et les teneurs des min�raux ou des m�taux d'int�r�t sont connus de fa�on d�taill�e. Ceci suppose que des travaux miniers ayant permis des �chantillonnages massifs ainsi que des forages et autres �chantillonnages sur des mailles r�guli�res et rapproch�es, localis�es pr�s des travaux miniers, ont �t� ex�cut�s. Les connaissances de la distribution interne des min�raux et des m�taux d'int�r�t doivent permettre une planification mini�re d�taill�e.

R�sidus miniers : les substances min�rales rejet�es, les boues et les eaux, sauf l�effluent final provenant des op�ration d�extraction ou du traitement du minerai et les scories provenant des op�rations de pyrom�tallurgie;

Ressources min�rales : un gisement d�une substance naturelle solide (organique fossilis�e ou inorganique), dont la quantit� et la teneur ou qualit� sont telles qu�il est ou peut �tre possible de l�extraire de mani�re rentable.

Revenu net de fonderie (Net Smelter Retunr - NSR) : Une redevance (royalty) incluant les montants re�us, par l�exploitant d�une propri�t� mini�re pour les produits provenant de l�extraction du minerai de ladite propri�t� mini�re, d�duction faite des d�penses reli�es au traitement des produits.

S�diment : Ensemble constitu� par la r�union de particules plus ou moins grosses ou de mati�res pr�cipit�es ayant, s�par�ment, subi un certain transport. Les mat�riaux des s�diments peuvent, p. ex. provenir de l��rosion de roches ant�rieures, ou r�sulter d�une activit� organique (accumulation de coquilles, �). Apr�s un d�p�t, un s�diment subit une diagen�se, et devient une roche s�dimentaire. On parle en g�n�ral de s�diment lorsque le d�p�t est r�cent, surtout s�il se trouve encore dans son milieu de formation, et s�il est encore gorg� d�eau. On parle de r. s�dimentaires lorsqu�il a �t� indur�, avec compaction et perte de son eau d�imbibition originelle. Cependant, le mot de s�diment est employ� dans tous les cas o� l�on veut faire allusion � son mode de formation.

Sondage au diamant : Le sondage au diamant est une technique d��chantillonnage co�teuse qui compl�te l��chantillonnage de surface (d�capage, tranch�e, saign�es, etc�). Les �quipements de sondage au diamant servent � pr�lever des cylindres de roche appel�s carottes de sondage, � diverses profondeurs du sous-sol.

Stratigraphie : Science qui �tudie la succession des d�p�ts s�dimentaires, g�n�ralement arrang�s en couches (ou strates). Elle permet d��tablir une chronologie stratigraphique relative, notamment par l�utilisation raisonn�e de deux principes (dits principes de la stratigraphie) auxquels il ne pas donner une valeur d�axiomes : 1. Le principe de la continuit� selon lequel une m�me couche a le m�me �ge sur toute son �tendue (mais cela n�est pas toujours vrai, en particulier lorsqu�il y a obliquit� des faci�s) . 2. Le principe de superposition, selon lequel, de deux couches superpos�es, non renvers�es par la tectonique, la plus basse est la plus ancienne (mais cela n�est pas vrai dans le cas de filons s�dimentaires, p. ex.)

Teneur : La teneur d�un �l�ment cherch� s�exprime toujours en masse par rapport � une masse, g�n�ralement en gramme(g) par tonne(t)(1 t =1000Kg), sauf pour les substances �conomiques des placers o� la teneur s�exprime en masse par rapport � un volume. (Prospection mini�re)

Tonnage : Quantit� de mati�re impliqu�e dans une d�formation tectonique. � Le tonnage des plis de fond et un multiple �lev� de celui des cha�nes g�osynclinales �.

Trou de forage � diamants : V. Sondage aux diamants.

Unit� : Terme d�signant tout ensemble de terrains que l�on peut individualiser pour des raisons tectoniques et/ou stratigraphiques. Dans le premier cas (unit�s tectoniques), il s�agit surtout de terrains encadr�s par des contacts anormaux tangentiels (nappes, �cailles). Dans le second cas, on parle plut�t de formations.

Veine : Mince filon d'un min�ral.

Zone : Plus petite des divisions stratigraphiques. V. Stratigraphie.

 


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